A l’occasion de ce salon de l’automobile, Renault a donc dévoilé son nouvel atout. Baptisé Kwid, le concept car qui devrait atterrir sur le marché indien dans quelques années (le constructeur prévoit un lancement en 2015) se veut complètement low-cost. Un segment qui représente, selon les derniers chiffres, près de 50% du marché indien.
Kwid devrait être commercialisée à un prix très raisonnable : moins de 400 000 roupies soit moins de 5 000 euros. De quoi conquérir la nouvelle classe populaire indienne qui bénéficie du statut de puissance émergente du pays.
Renault est déjà présente sur le marché indien notamment avec Dacia. Le modèle Duster, SUV low-cost très résistant et vendu en France un peu plus de 11 000 euros, représente 80% des ventes de la marque en Inde en 2013.
Or, l’Inde, traverse actuellement une légère crise dans le secteur des automobiles à cause d’une hausse des prix du carburant et des taux d’intérêt. Mais pour le patron de Renault en Inde, Sumit Sawhney, « Il s’agit d’une pause normale après près de 10 ans de croissance ». Pas question donc de faire l’impasse sur ce marché naissant.
Un marché qui devrait grossir dans les 5 années qui viennent jusqu’à atteindre une taille très importante : en 2020 il devrait avoir un potentiel de 9 millions de voitures, soit une croissance de plus de 300% par rapport à 2013. A la fin de cette décennie, le marché indien pourrait être le troisième marché automobile du monde.
Kwid devrait être commercialisée à un prix très raisonnable : moins de 400 000 roupies soit moins de 5 000 euros. De quoi conquérir la nouvelle classe populaire indienne qui bénéficie du statut de puissance émergente du pays.
Renault est déjà présente sur le marché indien notamment avec Dacia. Le modèle Duster, SUV low-cost très résistant et vendu en France un peu plus de 11 000 euros, représente 80% des ventes de la marque en Inde en 2013.
Or, l’Inde, traverse actuellement une légère crise dans le secteur des automobiles à cause d’une hausse des prix du carburant et des taux d’intérêt. Mais pour le patron de Renault en Inde, Sumit Sawhney, « Il s’agit d’une pause normale après près de 10 ans de croissance ». Pas question donc de faire l’impasse sur ce marché naissant.
Un marché qui devrait grossir dans les 5 années qui viennent jusqu’à atteindre une taille très importante : en 2020 il devrait avoir un potentiel de 9 millions de voitures, soit une croissance de plus de 300% par rapport à 2013. A la fin de cette décennie, le marché indien pourrait être le troisième marché automobile du monde.