Dans un communiqué, le président du directoire d'Areva explique que "pour des raisons de santé [il] n'est plus en mesure d'assumer les responsabilités de président du directoire d'Areva. Il vient d'en informer le gouvernement".
Le communiqué se poursuit ainsi : "Dans des circonstances personnelles très difficiles, malgré mon très fort attachement à AREVA, j’ai dû me résoudre à ne pas poursuivre mes fonctions à la tête de l’entreprise et à me mettre en arrêt de travail pour raisons thérapeutiques. Je dois mener maintenant un combat personnel contre la maladie mais toutes mes pensées vont aux équipes d’AREVA. J’ai été heureux et fier de les engager dans un contexte difficile dans le redressement de l’entreprise, au service du pays, et je suis convaincu qu’elles réussiront".
Le communiqué se poursuit ainsi : "Dans des circonstances personnelles très difficiles, malgré mon très fort attachement à AREVA, j’ai dû me résoudre à ne pas poursuivre mes fonctions à la tête de l’entreprise et à me mettre en arrêt de travail pour raisons thérapeutiques. Je dois mener maintenant un combat personnel contre la maladie mais toutes mes pensées vont aux équipes d’AREVA. J’ai été heureux et fier de les engager dans un contexte difficile dans le redressement de l’entreprise, au service du pays, et je suis convaincu qu’elles réussiront".
L'Etat détient 87 % du capital d'Areva : c'est à lui qu'incombe logiquement la désignation d'un successeur pour Luc Oursel, arrivé aux commandes du leader mondial du nucléaire en juin 2011, désigné par Nicolas Sarkozy pour remplacer Anne Lauvergeon.