Les deux pays vont établir une feuille de route commune pour les réformes de l'Union européenne et de la zone euro d'ici la fin juin, à l'occasion du Conseil européen. Les sujets sur la table sont nombreux et importants : union bancaire, Mécanisme européen de stabilité (MES), capacité budgétaire, innovation, convergence fiscale… Une feuille de route qui se veut « claire et ambitieuse », selon Emmanuel Macron, qui veut « refonder » l'Europe. « Pendant de longues années, l'Europe a attendu que le couple franco-allemand avance et propose. Nous y sommes prêts », a encore dit le président de la République.
L'Élysée a confirmé que l'objectif était d'arrêter d'ici le mois de juin « une feuille de route de réformes de la zone euro et plus largement un agenda de croissance et d'innovation ». Pour ce qui concerne la zone ayant l'euro comme monnaie unique, Emmanuel Macron entend « réarticuler » les principes de responsabilité et de solidarité. Des outils, notamment budgétaires, vont être mis en place. Les premières étapes auront lieu dès 2018, d'autres avant les élections européennes en mai 2019.
« Nous ne sommes peut-être pas toujours dès le départ du même avis mais dans l'Histoire, la France et l'Allemagne ont déjà fait beaucoup », a expliqué Angela Merkel durant la conférence de presse commune. La chancelière veut assurer une stabilité durable à l'euro et améliorer la compétitivité internationale des pays de la zone euro. Pour le moment, il faut encore surmonter des « difficultés techniques », comme les nomme Bruno Le Maire, notamment sur le dossier de l'union bancaire. Elles devraient être résolues d'ici le mois de juin, a fait valoir le ministre de l'Économie.
L'Élysée a confirmé que l'objectif était d'arrêter d'ici le mois de juin « une feuille de route de réformes de la zone euro et plus largement un agenda de croissance et d'innovation ». Pour ce qui concerne la zone ayant l'euro comme monnaie unique, Emmanuel Macron entend « réarticuler » les principes de responsabilité et de solidarité. Des outils, notamment budgétaires, vont être mis en place. Les premières étapes auront lieu dès 2018, d'autres avant les élections européennes en mai 2019.
« Nous ne sommes peut-être pas toujours dès le départ du même avis mais dans l'Histoire, la France et l'Allemagne ont déjà fait beaucoup », a expliqué Angela Merkel durant la conférence de presse commune. La chancelière veut assurer une stabilité durable à l'euro et améliorer la compétitivité internationale des pays de la zone euro. Pour le moment, il faut encore surmonter des « difficultés techniques », comme les nomme Bruno Le Maire, notamment sur le dossier de l'union bancaire. Elles devraient être résolues d'ici le mois de juin, a fait valoir le ministre de l'Économie.
