L’annonce n’a pas encore été formellement confirmée par le constructeur automobile mais est déjà très présente dans les médias, notamment chez les prestigieux Wall Street Journal et chez l’agence Bloomberg. Ce serait, d’ailleurs, la logique de plusieurs années de préparation chez Ford.
Le départ d’Alan Mulally a en effet été très bien préparé selon des sources proches du dossier. Mulally, qui a littéralement redressé l’entreprise, devrait céder sa place le 1er mai et son successeur devrait officiellement être annoncé dans les jours qui viennent.
Toutefois, tout permet de croire que ce sera Mark Fields, 53 ans, qui prendra la tête du groupe. En effet, non seulement cela fait 25 ans qu’il travaille dans l’entreprise mais il est également le numéro deux du groupe depuis 2012. Cette année-là, Ford a créé spécialement pour lui le poste de directeur général délégué. Or, selon certaines indiscrétions, la succession de Mulally serait en préparation depuis plus de deux ans.
Le changement à la tête de Ford pourrait annoncer un tournant dans la stratégie du groupe. En effet, le constructeur se porte bien et réalise des bénéfices ce qui n’était pas le cas depuis plusieurs années, notamment depuis la crise de 2008 qui a frappé fortement le secteur automobile. En Europe le marché recommence à peine à remonter, et ce n’était guère mieux aux Etats-Unis.
Le départ d’Alan Mulally a en effet été très bien préparé selon des sources proches du dossier. Mulally, qui a littéralement redressé l’entreprise, devrait céder sa place le 1er mai et son successeur devrait officiellement être annoncé dans les jours qui viennent.
Toutefois, tout permet de croire que ce sera Mark Fields, 53 ans, qui prendra la tête du groupe. En effet, non seulement cela fait 25 ans qu’il travaille dans l’entreprise mais il est également le numéro deux du groupe depuis 2012. Cette année-là, Ford a créé spécialement pour lui le poste de directeur général délégué. Or, selon certaines indiscrétions, la succession de Mulally serait en préparation depuis plus de deux ans.
Le changement à la tête de Ford pourrait annoncer un tournant dans la stratégie du groupe. En effet, le constructeur se porte bien et réalise des bénéfices ce qui n’était pas le cas depuis plusieurs années, notamment depuis la crise de 2008 qui a frappé fortement le secteur automobile. En Europe le marché recommence à peine à remonter, et ce n’était guère mieux aux Etats-Unis.