1 salarié sur 2 songe à changer d’emploi
Lorsqu’ils travaillent, les salariés aimeraient non seulement gagner de l’argent, mais aussi progresser professionnellement. Interrogés sur les types de compétences qu’ils souhaitent développer, les Français sont les plus nombreux à répondre que ce sont les compétences sectorielles (en d’autres mots, les connaissances propres à leur secteur) (29%), les compétences linguistiques (29% également), les compétences en management (22%), la coordination et capacité d'adaptation (21%) et les compétences vertes et environnementales (20%).
Alors, comptent-ils changer d’emploi ? À cette question, 53% des actifs français répondent par l’affirmative. Cette proportion bondit à 70% chez les 18-24 ans, et elle est de 61% chez les 25-34. Elle descend ensuite à 34% pour les 45 ans en plus. Le sondage nous apprend par ailleurs que 63% des salariés de la Gen Z se disent confiants dans leur capacité à trouver un autre emploi, soit près de 20 points de plus que leurs aînés.
Alors, comptent-ils changer d’emploi ? À cette question, 53% des actifs français répondent par l’affirmative. Cette proportion bondit à 70% chez les 18-24 ans, et elle est de 61% chez les 25-34. Elle descend ensuite à 34% pour les 45 ans en plus. Le sondage nous apprend par ailleurs que 63% des salariés de la Gen Z se disent confiants dans leur capacité à trouver un autre emploi, soit près de 20 points de plus que leurs aînés.
Le travail flexible et à distance, le graal des salariés
Un salaire plus élevé reste bien évidemment la raison numéro une de chercher un nouvel emploi, cette réponse est donnée par 60% des actifs, toutes générations confondues. En même temps, une augmentation de salaire est la principale raison qui pourrait les persuader de rester à leur poste actuel (45%).
Dans le reste des facteurs il y a l’existence d’une politique de travail hybride/flexible/à distance (27%), le fait de faire un travail qui a du sens (26%), un bon équilibre entre vie professionnelle et vie privée (25%) et la possibilité de développer de nouvelles compétences/apprendre de nouvelles choses (25%).
Dans le reste des facteurs il y a l’existence d’une politique de travail hybride/flexible/à distance (27%), le fait de faire un travail qui a du sens (26%), un bon équilibre entre vie professionnelle et vie privée (25%) et la possibilité de développer de nouvelles compétences/apprendre de nouvelles choses (25%).