La tourmente dans laquelle se trouve Volkswagen pourrait bien changer la donne pour tous les constructeurs automobiles du monde. Volkswagen est en effet, selon les derniers chiffres, le premier constructeur en termes de nombre de véhicules vendus. Mais ça risque de ne pas durer.
Dans un communiqué le groupe de Wolfburg a annoncé que près de 11 millions de véhicules Diesel présenteraient ce logiciel espion que la marque aurait utilisé pour tromper les tests officiels des autorités américaines. Angela Merkel, chancelière allemande, a elle-même critiqué le groupe tandis que plusieurs pays pensent déjà aux suites de l'affaire. La Corée du Sud a déjà entamé les tests de contrôle pour vérifier si sa réglementation est respectée ou non.
Michael Horn, PDG de Volkswagen America, a tout simplement estimé que le groupe "a totalement merdé", que l'entreprise "a été malhonnête". Le tout lors d'un événement de présentation du nouveau modèle de Passat diffusé lundi 21 septembre dans la soirée sur la chaîne américaine NBC.
Alors que le Land de Basse-Saxe, actionnaire à 20% du groupe et dont le ministre de l'Economie est membre du conseil de surveillance, a déjà déclaré que des têtes allaient tomber, Bruxelles reste prudente mais prend l'affaire "très au sérieux". La Commission européenne attend toutefois la fin de l'enquête interne et de l'enquête allemande pour prendre des dispositions.
En attendant Volkswagen a déjà mis de côté 6,5 milliards d'euros afin de faire face aux éventuelles amendes qu'il risque. Pour les seuls Etats-Unis cette amende pourrait atteindre 18 milliards de dollars.
Dans un communiqué le groupe de Wolfburg a annoncé que près de 11 millions de véhicules Diesel présenteraient ce logiciel espion que la marque aurait utilisé pour tromper les tests officiels des autorités américaines. Angela Merkel, chancelière allemande, a elle-même critiqué le groupe tandis que plusieurs pays pensent déjà aux suites de l'affaire. La Corée du Sud a déjà entamé les tests de contrôle pour vérifier si sa réglementation est respectée ou non.
Michael Horn, PDG de Volkswagen America, a tout simplement estimé que le groupe "a totalement merdé", que l'entreprise "a été malhonnête". Le tout lors d'un événement de présentation du nouveau modèle de Passat diffusé lundi 21 septembre dans la soirée sur la chaîne américaine NBC.
Alors que le Land de Basse-Saxe, actionnaire à 20% du groupe et dont le ministre de l'Economie est membre du conseil de surveillance, a déjà déclaré que des têtes allaient tomber, Bruxelles reste prudente mais prend l'affaire "très au sérieux". La Commission européenne attend toutefois la fin de l'enquête interne et de l'enquête allemande pour prendre des dispositions.
En attendant Volkswagen a déjà mis de côté 6,5 milliards d'euros afin de faire face aux éventuelles amendes qu'il risque. Pour les seuls Etats-Unis cette amende pourrait atteindre 18 milliards de dollars.