Spécialiste de la lunetterie, leader sur le marché, Optic 2 000 dispose aujourd’hui de plus de 1 800 points de vente très équitablement répartis sur l’ensemble du territoire, distribués sous des marques-phares : Optic 2OOO, Audio 2000 et Lissac. La société est également très présente en Suisse. Par ailleurs, elle s’appuie sur un Groupement d’Intérêt économique, Audioptic Trade service qui fournit à l’ensemble du groupe produits et services. Une réussite à la française, de longue haleine, donc. Mais dont l’histoire, intimement inscrite dans une philosophie coopérative qui fait la part belles aux valeurs de solidarité et de l’humanisme, lui donne une place à part dans le paysage de la vente de détail.
Flash-back. Avec les années soixante, la consommation s’emballe et s’enflamme. Pour y faire face, pour y répondre, les magasins traditionnels doivent trouver une réplique et abandonner leurs vieux schémas fondés sur le développement individuel. Une poignée d’opticiens indépendants installés sur la façade ouest de la France saisit l’enjeu. Les commerçants fondent le GADOL, Groupement d’Achats Des Opticiens Lunettiers. Un premier pas, un premier temps pour se débarasser des derniers oripeaux de l’individualisme qui jusqu’alors a été l’apanage et la culture du commerce. Convaincus par les premiers résultats, ravis de voir la mutualisation des efforts et des contraintes faire monter en puissance leurs résultats, ces précurseurs fondent en 1969 l’enseigne Optic 2000.
Dès le départ, l’option fondamentale est impulsée et ne variera jamais : Optic 2000 sera et demeure un groupement coopératif. Une formule souple pour le commerçant qui reste son propre maître, un dispositif qui permet de réaliser de vraies économies d’échelle et de dessiner une image cohérente au groupe. Mais l’esprit coopératif qui anime Optic 2000, c’est bien plus encore : le projet d’entreprise est enchassé dans un socle de valeurs intangibles, où le magasin n’est pas considéré comme une belle mécanique destinée uniquement à générer des profits. Pour les animateurs du groupe, il y a plus, il y a mieux à faire. Optic 2000 n’est pas un simple vendeur de lunettes, il place l’humain au cœur de son ambition, à tous les stades de son action qu’il s’agisse de ses relations au client, aux salariés ou aux dirigeants du groupe qui corrige par les principes coopératifs les excès du capitalisme.
La montée en puissance du groupe Optic 2000 au cours des années 80-90 est continue et forgée dans la cohérence. Très vite, l’enseigne s’affirme dans sa capacité à traduire en terme de produits les avancées technologiques et les évolutions marketing. En 1994, elle lance le premier pack « Prix Tout Compris, forfait montures+verres ». Un coup de tonnerre dans l’univers de l’optique, parfois critiqué mais finalement adopté par tous. Avec le pack « Progresif 2 pour 1 », proposé en 2000, le succès est à nouveau au rendez-vous : parce qu’il est soucieux de santé publique, et parce qu’il est à l’écoute des évolutions sociétales et médicales, le groupe Optic 2000 détecte parmi les premiers de sa branche le fulgurant essor de l’optique solaire. Quant à l’opération « Titane », elle est depuis près de dix ans de la « marque de fabrique » de l’enseigne. L’arrivée de ce matériau de haute technologie garantit aux consommateurs des produits d’une haute technicité, d’un confort remarquable, à des prix compétitifs.
Le groupement de lunettiers coopératifs développe également plusieurs projets, avec autant de dynamisme et toujours avec cette approche citoyenne. Conscient que le vieillissement de la population française et l’allongement de la durée de la vie apportait des bouleversements considérables dans le marché des audio-prothèses, le groupe a investit le marché. Dès 1999, il créé une filiale, Audio 2000 qui répond à un besoin massif des consommateurs grâce aux actions de dépistage gratuites. Récemment, un brevet a été déposé établissant le lien entre les deux métiers, et en incluant de manière discrète une prothèse auditive dans une branche de lunette permettant ainsi de dédramatiser le port d’un appareillage. Du point de vue de sa politique de service, Optic 2000 soigne particulièrement son plan de développement en veillant à ce que l’opticien demeure un commerçant de proximité. C’est parce qu’il se vit comme un acteur de l’espace de santé qu’il combat par une implantation méticuleuse et systématique le fameux désert français qui menace certaines régions. De même, le groupement entretient des liens étroits avec les principaux organismes d’assurance maladie complémentaire, développant des accords pour parvenir à un véritable « droit à la vue », ouvert à chacun.
Entrepreneur solidaire, enfin, Optic 2000 vient de s’engager auprès de l’AFM-Théléton. Un choix qui fait sens, bien au delà de la cause des jeunes myopates. L’entreprise ne s’évertue pas seulement à verser un « gros chèque » à l’association. Elle s’implique et implique les consommateurs : c’est parce qu’ils choisiront des montures et des verres fabriqués en France dans un atelier nouvellement crée et distribués par le groupe que les fonds seront récoltés. Une « bonne action », en quelque sorte, qui fait boule de neige dans l’économique en créant ou préservant des emplois. Un cercle vertueux, en somme, qui se développe et qui est emblématique de la déjà longue histoire d’Optic 2000.
Flash-back. Avec les années soixante, la consommation s’emballe et s’enflamme. Pour y faire face, pour y répondre, les magasins traditionnels doivent trouver une réplique et abandonner leurs vieux schémas fondés sur le développement individuel. Une poignée d’opticiens indépendants installés sur la façade ouest de la France saisit l’enjeu. Les commerçants fondent le GADOL, Groupement d’Achats Des Opticiens Lunettiers. Un premier pas, un premier temps pour se débarasser des derniers oripeaux de l’individualisme qui jusqu’alors a été l’apanage et la culture du commerce. Convaincus par les premiers résultats, ravis de voir la mutualisation des efforts et des contraintes faire monter en puissance leurs résultats, ces précurseurs fondent en 1969 l’enseigne Optic 2000.
Dès le départ, l’option fondamentale est impulsée et ne variera jamais : Optic 2000 sera et demeure un groupement coopératif. Une formule souple pour le commerçant qui reste son propre maître, un dispositif qui permet de réaliser de vraies économies d’échelle et de dessiner une image cohérente au groupe. Mais l’esprit coopératif qui anime Optic 2000, c’est bien plus encore : le projet d’entreprise est enchassé dans un socle de valeurs intangibles, où le magasin n’est pas considéré comme une belle mécanique destinée uniquement à générer des profits. Pour les animateurs du groupe, il y a plus, il y a mieux à faire. Optic 2000 n’est pas un simple vendeur de lunettes, il place l’humain au cœur de son ambition, à tous les stades de son action qu’il s’agisse de ses relations au client, aux salariés ou aux dirigeants du groupe qui corrige par les principes coopératifs les excès du capitalisme.
La montée en puissance du groupe Optic 2000 au cours des années 80-90 est continue et forgée dans la cohérence. Très vite, l’enseigne s’affirme dans sa capacité à traduire en terme de produits les avancées technologiques et les évolutions marketing. En 1994, elle lance le premier pack « Prix Tout Compris, forfait montures+verres ». Un coup de tonnerre dans l’univers de l’optique, parfois critiqué mais finalement adopté par tous. Avec le pack « Progresif 2 pour 1 », proposé en 2000, le succès est à nouveau au rendez-vous : parce qu’il est soucieux de santé publique, et parce qu’il est à l’écoute des évolutions sociétales et médicales, le groupe Optic 2000 détecte parmi les premiers de sa branche le fulgurant essor de l’optique solaire. Quant à l’opération « Titane », elle est depuis près de dix ans de la « marque de fabrique » de l’enseigne. L’arrivée de ce matériau de haute technologie garantit aux consommateurs des produits d’une haute technicité, d’un confort remarquable, à des prix compétitifs.
Le groupement de lunettiers coopératifs développe également plusieurs projets, avec autant de dynamisme et toujours avec cette approche citoyenne. Conscient que le vieillissement de la population française et l’allongement de la durée de la vie apportait des bouleversements considérables dans le marché des audio-prothèses, le groupe a investit le marché. Dès 1999, il créé une filiale, Audio 2000 qui répond à un besoin massif des consommateurs grâce aux actions de dépistage gratuites. Récemment, un brevet a été déposé établissant le lien entre les deux métiers, et en incluant de manière discrète une prothèse auditive dans une branche de lunette permettant ainsi de dédramatiser le port d’un appareillage. Du point de vue de sa politique de service, Optic 2000 soigne particulièrement son plan de développement en veillant à ce que l’opticien demeure un commerçant de proximité. C’est parce qu’il se vit comme un acteur de l’espace de santé qu’il combat par une implantation méticuleuse et systématique le fameux désert français qui menace certaines régions. De même, le groupement entretient des liens étroits avec les principaux organismes d’assurance maladie complémentaire, développant des accords pour parvenir à un véritable « droit à la vue », ouvert à chacun.
Entrepreneur solidaire, enfin, Optic 2000 vient de s’engager auprès de l’AFM-Théléton. Un choix qui fait sens, bien au delà de la cause des jeunes myopates. L’entreprise ne s’évertue pas seulement à verser un « gros chèque » à l’association. Elle s’implique et implique les consommateurs : c’est parce qu’ils choisiront des montures et des verres fabriqués en France dans un atelier nouvellement crée et distribués par le groupe que les fonds seront récoltés. Une « bonne action », en quelque sorte, qui fait boule de neige dans l’économique en créant ou préservant des emplois. Un cercle vertueux, en somme, qui se développe et qui est emblématique de la déjà longue histoire d’Optic 2000.