Le classement de Wall Street Journal se fonde en fait sur le total des investissements, en capital-risque, rapporté au nombre d'habitants pour chaque pays étudié. Au top du classement, l'Irlande, avec sa fiscalité avantageuse. Dans le détail, le journal américain a relevé le montant des investissements en capital-risque levés par les entreprises technologiques depuis 2003. Un résultat rapporté au nombre d'habitants du pays, avant d'en faire une moyenne sur 39 trimestres.
L'Irlande est donc en tête du classement, suivi de la Suède, du Royaume-Uni, de la Finlande, du Danemark, des Pays-Bas, de la Norvège, de la France, de l'Allemagne et de la Suisse. Et force est donc de constater que le nord-ouest de l'Europe est particulièrement propice à l'investissement et au développement des start-up, bénéficiant d'une tradition entrepreneuriale forte.
L'Irlande attire donc de nombreuses start-up. Un succès qui s'explique avant tout par sa fiscalité avantageuse pour les entreprises. Le pays a tout naturellement attiré les sièges sociaux des principaux groupes américains tels que Google, Apple, Amazon, Facebook, Twitter, et récemment Dropbox. Et malgré la crise financière, qui a particulièrement grevé le pays, les investissements n'en ont pas pâti. Ainsi, sur 311 opérations réalisées dans le pays par capital-risque depuis 2003, 42 % l'ont été après 2009.
L'Irlande est donc en tête du classement, suivi de la Suède, du Royaume-Uni, de la Finlande, du Danemark, des Pays-Bas, de la Norvège, de la France, de l'Allemagne et de la Suisse. Et force est donc de constater que le nord-ouest de l'Europe est particulièrement propice à l'investissement et au développement des start-up, bénéficiant d'une tradition entrepreneuriale forte.
L'Irlande attire donc de nombreuses start-up. Un succès qui s'explique avant tout par sa fiscalité avantageuse pour les entreprises. Le pays a tout naturellement attiré les sièges sociaux des principaux groupes américains tels que Google, Apple, Amazon, Facebook, Twitter, et récemment Dropbox. Et malgré la crise financière, qui a particulièrement grevé le pays, les investissements n'en ont pas pâti. Ainsi, sur 311 opérations réalisées dans le pays par capital-risque depuis 2003, 42 % l'ont été après 2009.