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La date précise n'a pas encore été communiquée mais on sait déjà que cette réunion pourrait se tenir dès octobre 2016 à Vienne selon ce qu'a annoncé Alexandre Novak, ministre de l'Energie russe. Encore une fois, il s'agira d'établir les priorités des divers pays producteurs de pétrole pour que les prix du brut soient assez élevés.
La Russie et l'OPEP ont déjà tenté de trouver un accord en avril 2016 lorsque le prix du pétrole était au plus bas dépassant de peu les 30 dollars le baril... mais sans succès. L'OPEP réclamait un gel de la production chose à laquelle ne voulait pas céder la Russie ainsi que des pays membres de l'organisation comme l'Iran qui peut depuis le début de l'année 2016 exporter à nouveau du pétrole et compte sur cette ressource pour relancer son économie.
Si les observateurs et les marchés risquent d'attendre beaucoup de cette nouvelle réunion, il y a toutefois peu de chances qu'elle aboutisse à des mesures importantes capables de faire remonter le prix du baril à court terme. Alexandre Novak estime en effet que le prix, qui oscille entre 40 et 50 dollars le baril, est "à un niveau plus ou moins correct" ce qui donne le ton des négociations : il n'est pas question pour la Russie de forcer la main des marchés.
La Russie et l'OPEP ont déjà tenté de trouver un accord en avril 2016 lorsque le prix du pétrole était au plus bas dépassant de peu les 30 dollars le baril... mais sans succès. L'OPEP réclamait un gel de la production chose à laquelle ne voulait pas céder la Russie ainsi que des pays membres de l'organisation comme l'Iran qui peut depuis le début de l'année 2016 exporter à nouveau du pétrole et compte sur cette ressource pour relancer son économie.
Si les observateurs et les marchés risquent d'attendre beaucoup de cette nouvelle réunion, il y a toutefois peu de chances qu'elle aboutisse à des mesures importantes capables de faire remonter le prix du baril à court terme. Alexandre Novak estime en effet que le prix, qui oscille entre 40 et 50 dollars le baril, est "à un niveau plus ou moins correct" ce qui donne le ton des négociations : il n'est pas question pour la Russie de forcer la main des marchés.