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Le déménagement du quartier général de PSA Peugeot Citroën a été dévoilé ce mercredi 24 décembre 2014 par le journal Le Figaro. C’est un changement historique puisque le groupe va quitter son siège situé sur l’avenue de la Grande Armée à Paris pour s’installer en banlieue, plus précisément à Rueil-Malmaison.
Or PSA avait son QG dans l’immeuble avenue de la Grande Armée depuis 1974, un immeuble qui était initialement sa propriété mais qu’il a cédé au fonds Québécois Ivanohé Cambridge en 2012 pour la somme de 245,5 millions d’euros. Depuis le constructeur automobile français était locataire de ces mêmes locaux.
Le nouveau QG, où selon les informations du Figaro ne devraient pas se déplacer l’intégralité des salariés installé à la Grande Armée mais uniquement la direction et quelques services centraux et stratégiques, coûtera moins cher à la société. Installé dans un nouvel immeuble à proximité de la gare RER A de Rueil, il devrait permettre de tourner une page d’histoire.
Car ce déménagement fait partie du plan plus global baptisé « Back in the Race » (« de retour dans la course », en anglais) qui vise à faire atteindre une marge opérationnelle de 2% à la division automobile mais, surtout, de réduire le ratio coûts salariaux/chiffre d’affaires à moins de 12,5% à l’horizon de 2016.
Or PSA avait son QG dans l’immeuble avenue de la Grande Armée depuis 1974, un immeuble qui était initialement sa propriété mais qu’il a cédé au fonds Québécois Ivanohé Cambridge en 2012 pour la somme de 245,5 millions d’euros. Depuis le constructeur automobile français était locataire de ces mêmes locaux.
Le nouveau QG, où selon les informations du Figaro ne devraient pas se déplacer l’intégralité des salariés installé à la Grande Armée mais uniquement la direction et quelques services centraux et stratégiques, coûtera moins cher à la société. Installé dans un nouvel immeuble à proximité de la gare RER A de Rueil, il devrait permettre de tourner une page d’histoire.
Car ce déménagement fait partie du plan plus global baptisé « Back in the Race » (« de retour dans la course », en anglais) qui vise à faire atteindre une marge opérationnelle de 2% à la division automobile mais, surtout, de réduire le ratio coûts salariaux/chiffre d’affaires à moins de 12,5% à l’horizon de 2016.