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Si les discussions entre Orange et Bouygues Telecom pour le rachat du deuxième par le premier continuent, elles devraient arriver à terme d'ici la fin du semestre. C'est Martin Bouygues qui l'a confirmé ce mercredi 24 février 2016 en conférence de presse : "Les discussions peuvent encore durer quelques semaines" mais il n'est pas question d'aller plus loin que fin mars.
Une manière de mettre un peu la pression sur les parties concernées car un sujet de fonds pose encore problème : la part de capital du nouvel opérateur que le groupe Bouygues va détenir. Martin Bouygues a déclaré clairement qu'il n'allait pas accepter une participation inférieure à 10 % du capital : "la question ne se pose pas".
Pour lui "Une participation de l’ordre de 10 % à 15 % serait correcte" mais on sait déjà que Bouygues ne devrait pas obtenir 15 % d'Orange. Pour ce faire, l'Etat, actionnaire d'Orange à 23 % , devrait baisser sa participation sous les 20 % chose qu'il a déjà déclaré comme n'étant pas envisageable. Avec 20 % d'Orange encore propriété de l'Etat, Bouygues pourrait alors prétendre à 10 voire 11 % de l'opérateur, mais difficilement plus.
Mais Martin Bouygues vise également autre chose : une place au Conseil d'Administration d'Orange, si ce n'est plus. "Bouygues pourrait obtenir des sièges au Conseil d'Orange dans le cadre de la transaction" a déclaré le PDG lors de la conférence de presse.
Une manière de mettre un peu la pression sur les parties concernées car un sujet de fonds pose encore problème : la part de capital du nouvel opérateur que le groupe Bouygues va détenir. Martin Bouygues a déclaré clairement qu'il n'allait pas accepter une participation inférieure à 10 % du capital : "la question ne se pose pas".
Pour lui "Une participation de l’ordre de 10 % à 15 % serait correcte" mais on sait déjà que Bouygues ne devrait pas obtenir 15 % d'Orange. Pour ce faire, l'Etat, actionnaire d'Orange à 23 % , devrait baisser sa participation sous les 20 % chose qu'il a déjà déclaré comme n'étant pas envisageable. Avec 20 % d'Orange encore propriété de l'Etat, Bouygues pourrait alors prétendre à 10 voire 11 % de l'opérateur, mais difficilement plus.
Mais Martin Bouygues vise également autre chose : une place au Conseil d'Administration d'Orange, si ce n'est plus. "Bouygues pourrait obtenir des sièges au Conseil d'Orange dans le cadre de la transaction" a déclaré le PDG lors de la conférence de presse.