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Les voitures autonomes, au même titre que les voitures électriques, sont censées être le futur levier de croissance majeur de l'industrie automobile qui sort la tête de la crise économique de 2008 depuis quelques mois. Plusieurs grands noms, Tesla en tête, sont sur le créneau. Mais Ford est le premier à annoncer une possible date de commercialisation.
Après avoir augmenté sa flotte de voitures-test, portée à 30 voitures modèle Mondeo, le groupe espère vendre les premières voitures 100 % autonomes dès 2021. Ce sont les transporteurs, notamment les nouveaux arrivants comme Uber ou Lyft, qui sont dans le collimateur du constructeur américain. Uber, toutefois, a son propre projet de voiture autonome qu'il développe dans le plus grand secret.
L'idée de ces transporteurs privés est simple : avec les voitures autonomes il leur sera possible de se passer des chauffeurs privés et donc d'augmenter, avec une flotte propre, leurs revenus. Les constructeurs font donc la course pour répondre à ce nouveau besoin qui naîtra dans les années à venir.
Restent, toutefois, plusieurs questions en suspens : assurance, responsabilité, autorisation de circulation... autant de questions sur lesquelles les régulateurs devront légiférer. Les constructeurs devront répondre à ces demandes pour pouvoir vendre leurs voitures afin qu'elles soient homologuées pour la route.
Pour le PDG de Ford, Mark Fields, l'entreprise américaine qui a renoué avec des bénéfices records depuis le début de l'année 2016 a l'occasion de reproduire une révolution semblable à celle du fondateur de l'entreprise, Henry Ford, qui a donné naissance à la production de masse avec la Ford Model T.
Après avoir augmenté sa flotte de voitures-test, portée à 30 voitures modèle Mondeo, le groupe espère vendre les premières voitures 100 % autonomes dès 2021. Ce sont les transporteurs, notamment les nouveaux arrivants comme Uber ou Lyft, qui sont dans le collimateur du constructeur américain. Uber, toutefois, a son propre projet de voiture autonome qu'il développe dans le plus grand secret.
L'idée de ces transporteurs privés est simple : avec les voitures autonomes il leur sera possible de se passer des chauffeurs privés et donc d'augmenter, avec une flotte propre, leurs revenus. Les constructeurs font donc la course pour répondre à ce nouveau besoin qui naîtra dans les années à venir.
Restent, toutefois, plusieurs questions en suspens : assurance, responsabilité, autorisation de circulation... autant de questions sur lesquelles les régulateurs devront légiférer. Les constructeurs devront répondre à ces demandes pour pouvoir vendre leurs voitures afin qu'elles soient homologuées pour la route.
Pour le PDG de Ford, Mark Fields, l'entreprise américaine qui a renoué avec des bénéfices records depuis le début de l'année 2016 a l'occasion de reproduire une révolution semblable à celle du fondateur de l'entreprise, Henry Ford, qui a donné naissance à la production de masse avec la Ford Model T.