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Alors que Snapchat a lancé en début d'année 2015 ses publicités dans le but d'être rentable, chose que la start-up valorisée 15 milliards de dollars et dirigée par son fondateur Evan Spiegel n'est pas encore, voilà que les dirigeants s'en vont. Dernière en date, et pas des moindres, Emily White qui quitte son poste de directrice opérationnelle au bout d'à peine un an.
Le départ d'Emily White fait suite à celui de Mike Randall, fin janvier, directeur commercial de la société et à celui de Sara Sperling, responsable des ressources humaines, annoncé en février. Particularité : les trois profils qui sont partis étaient issus de Facebook, le réseau social fondé par Mark Zuckerberg et qui a tenté de racheter Snapchat pour la coquette somme de 3 milliards de dollars. Une offre que le fondateur, Evan Spiegel, avait refusée.
Le départ d'Emily White est d'autant plus étonnant que c'est elle qui avait lancé la publicité sur Instagram et surtout sur Snapchat. Un lancement qui a été un succès auprès des annonceurs malgré des tarifs de régie très élevés. Or la publicité est le seul moyen pour Snapchat de générer des revenus, l'application étant gratuite. Ce n'est donc pas un échec qui justifie ce départ.
Il est possible donc que ce soit un tour de force d'Evan Spiegel lui-même qui a poussé les trois dirigeants à quitter la start-up. Peut-être dans le but d'accroître son pouvoir décisionnel et opérationnel.
Le départ d'Emily White fait suite à celui de Mike Randall, fin janvier, directeur commercial de la société et à celui de Sara Sperling, responsable des ressources humaines, annoncé en février. Particularité : les trois profils qui sont partis étaient issus de Facebook, le réseau social fondé par Mark Zuckerberg et qui a tenté de racheter Snapchat pour la coquette somme de 3 milliards de dollars. Une offre que le fondateur, Evan Spiegel, avait refusée.
Le départ d'Emily White est d'autant plus étonnant que c'est elle qui avait lancé la publicité sur Instagram et surtout sur Snapchat. Un lancement qui a été un succès auprès des annonceurs malgré des tarifs de régie très élevés. Or la publicité est le seul moyen pour Snapchat de générer des revenus, l'application étant gratuite. Ce n'est donc pas un échec qui justifie ce départ.
Il est possible donc que ce soit un tour de force d'Evan Spiegel lui-même qui a poussé les trois dirigeants à quitter la start-up. Peut-être dans le but d'accroître son pouvoir décisionnel et opérationnel.