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Dans un entretien accordé que Journal du Dimanche et publié ce dimanche 13 septembre 2015, Carlos Ghosn est on ne peut plus clair concernant la Chine et son rapport à la vente de véhicules Renault : "S'il y a un constructeur auto qui n'est pas inquiet par la situation en Chine, c'est bien nous!".
Une bonne nouvelle pour le constructeur qui a, comme tous ses concurrents ou presque, fortement souffert de la crise économique de 2008. Le marché de l'automobile commence tout juste à reprendre des couleurs et les constructeurs, qui misaient beaucoup sur la croissance phénoménale de la Chine, s'inquiètent de ne pouvoir atteindre les objectifs qu'ils se sont fixés.
Toutefois, il faut mettre les choses en perspective : la Chine n'est aujourd'hui pas encore un marché stratégique pour le groupe Renault qui ne vend que 30 000 véhicules par an. Renault veut toutefois booster ce marché en implantant une usine en Chine et Carlos Ghosn estime que la Chine a un avantage : "quand le gouvernement décide quelque chose, il le fait. Quand il décide de relancer l'économie, vous savez qu'il mettra le paquet pour aboutir."
De fait Renault ne revient pas sur son plan d'implantation en Chine, bien au contraire. Pour Carlos Ghosn s'il y a aujourd'hui un ralentissement des pays émergents "leur croissance à long terme est indiscutable". De quoi permettre au groupe de se projeter loin dans l'avenir et estimer être en mesure de surpasser le constructeur Ford en nombre de véhicules vendus dans le monde d'ici fin 2016.
Une bonne nouvelle pour le constructeur qui a, comme tous ses concurrents ou presque, fortement souffert de la crise économique de 2008. Le marché de l'automobile commence tout juste à reprendre des couleurs et les constructeurs, qui misaient beaucoup sur la croissance phénoménale de la Chine, s'inquiètent de ne pouvoir atteindre les objectifs qu'ils se sont fixés.
Toutefois, il faut mettre les choses en perspective : la Chine n'est aujourd'hui pas encore un marché stratégique pour le groupe Renault qui ne vend que 30 000 véhicules par an. Renault veut toutefois booster ce marché en implantant une usine en Chine et Carlos Ghosn estime que la Chine a un avantage : "quand le gouvernement décide quelque chose, il le fait. Quand il décide de relancer l'économie, vous savez qu'il mettra le paquet pour aboutir."
De fait Renault ne revient pas sur son plan d'implantation en Chine, bien au contraire. Pour Carlos Ghosn s'il y a aujourd'hui un ralentissement des pays émergents "leur croissance à long terme est indiscutable". De quoi permettre au groupe de se projeter loin dans l'avenir et estimer être en mesure de surpasser le constructeur Ford en nombre de véhicules vendus dans le monde d'ici fin 2016.