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Selon le Wall Street Journal qui dévoile l'information l'éditeur HarperCollins s'est donc associé à Amazon pour la distribution sur Internet de ses titres à la fois en format papier et en format e-book. Un contrat un peu particulier cependant.
HarperCollins pourra décider du prix de vente des livres numériques, comme le veut par exemple la loi française, mais Amazon devrait inciter l'éditeur a baisser ses prix, sans que cette incitation en soit formellement explicitée. On peut supposer qu'Amazon pourrait réduire un peu ses marges sur les ventes et reverser plus à HarperCollins qui pourrait ainsi réduire son prix et augmenter le nombre de titres numériques vendus.
En général, dans ce type de vente, selon le Wall Street Journal, l'éditeur reçoit 70% du prix de vente tandis que le vendeur garde une commission de 30%. Selon le journal cet accord pourrait fortement profiter à Amazon puisqu'il devrait garantir au groupe un bon profit, HarperCollins étant un des principaux éditeurs américains.
Ce contrat reste toutefois du même type que celui proposé aux autres éditeurs qui étaient en guerre contre Amazon en 21014, soit Simon & Schuster, Hachette et Macmillan. Amazon l'avait alors proposé également à HarperCollins qui s'était refusé de le signer jusqu'à aujourd'hui.
HarperCollins pourra décider du prix de vente des livres numériques, comme le veut par exemple la loi française, mais Amazon devrait inciter l'éditeur a baisser ses prix, sans que cette incitation en soit formellement explicitée. On peut supposer qu'Amazon pourrait réduire un peu ses marges sur les ventes et reverser plus à HarperCollins qui pourrait ainsi réduire son prix et augmenter le nombre de titres numériques vendus.
En général, dans ce type de vente, selon le Wall Street Journal, l'éditeur reçoit 70% du prix de vente tandis que le vendeur garde une commission de 30%. Selon le journal cet accord pourrait fortement profiter à Amazon puisqu'il devrait garantir au groupe un bon profit, HarperCollins étant un des principaux éditeurs américains.
Ce contrat reste toutefois du même type que celui proposé aux autres éditeurs qui étaient en guerre contre Amazon en 21014, soit Simon & Schuster, Hachette et Macmillan. Amazon l'avait alors proposé également à HarperCollins qui s'était refusé de le signer jusqu'à aujourd'hui.