Pratiquement 1% de hausse donc, ce qui revient à 9,76 euros de l’heure ou encore 1 480 euros bruts mensuel, au lieu de 9,67 euros de l’heure pour 1 466 euros bruts mensuel. C’est la hausse mécanique légale qui est ici appliquée, qui prend en compte l’inflation subie par les 20% des ménages les plus pauvres, ainsi que le gain de pouvoir d’achat du salaire de base des employés.
Depuis 2012, la hausse du Smic n’a bénéficié d’aucun « coup de pouce ». La ministre du Travail, Myriam El Khomri, ira-t-elle au delà de la progression mécanique ? Rien n’est moins sûr, le gouvernement ayant semble-t-il fait passer le mot qu’il n’y aurait pas d’aide supplémentaire l’année prochaine. Depuis le début du quinquennat, le salaire minimum a progressé de 45 euros.
1%, c’est peu évidemment, mais c’est toujours plus important que les 0,8% de 2015, et les 0,6% de cette année. La CGT réclame ainsi un Smic à 1 800 euros bruts mensuel, soit une hausse de 23% par-rapport au niveau actuel. Un pourcentage pratiquement identique pour FO, qui demande une revalorisation 25% supérieure… Du côté de la CFDT, on insiste plutôt sur une réflexion concernant la progression de tous les salaires : le Smic doit en effet rester un « salaire d’entrée ».
Depuis 2012, la hausse du Smic n’a bénéficié d’aucun « coup de pouce ». La ministre du Travail, Myriam El Khomri, ira-t-elle au delà de la progression mécanique ? Rien n’est moins sûr, le gouvernement ayant semble-t-il fait passer le mot qu’il n’y aurait pas d’aide supplémentaire l’année prochaine. Depuis le début du quinquennat, le salaire minimum a progressé de 45 euros.
1%, c’est peu évidemment, mais c’est toujours plus important que les 0,8% de 2015, et les 0,6% de cette année. La CGT réclame ainsi un Smic à 1 800 euros bruts mensuel, soit une hausse de 23% par-rapport au niveau actuel. Un pourcentage pratiquement identique pour FO, qui demande une revalorisation 25% supérieure… Du côté de la CFDT, on insiste plutôt sur une réflexion concernant la progression de tous les salaires : le Smic doit en effet rester un « salaire d’entrée ».