© Shutterstock/EconomieMatin
La décision était attendue et elle a finalement été annoncée par Fleur Pellerin, ministre de la Culture, dans le Journal du Dimanche. Delphine Ernotte, la présidente de France Télévisions, réclamait à corps et à cri de nouveaux moyens pour ses chaînes, alors que le budget du service public est déficitaire de 10 millions d'euros.
La redevance va donc être augmentée de 1 euro en 2016 : « J'ai proposé que la redevance reste limitée à l'inflation. La hausse sera donc contenue à 1 euro seulement en 2016. C'est la plus faible augmentation depuis 2008 », indique la ministre. Cette hausse limitée se réalisera au détriment des fournisseurs d'accès à internet. La « taxe Copé », qui prélève depuis 2009 0,9% du chiffre d'affaires des FAI, sera relevée de 1,2%.
« Cette fraction des recettes sera affectée de façon pérenne à l'audiovisuel public », précise Fleur Pellerin, tout en espérant que les FAI ne refileront pas la facture aux consommateurs. Enfin, il n'est pas question du retour de la publicité après 20 heures sur le service public : « Les chaînes privées doivent avoir les moyens de contribuer au pluralisme de l'information et à la création, notamment au financement du cinéma ».
La redevance va donc être augmentée de 1 euro en 2016 : « J'ai proposé que la redevance reste limitée à l'inflation. La hausse sera donc contenue à 1 euro seulement en 2016. C'est la plus faible augmentation depuis 2008 », indique la ministre. Cette hausse limitée se réalisera au détriment des fournisseurs d'accès à internet. La « taxe Copé », qui prélève depuis 2009 0,9% du chiffre d'affaires des FAI, sera relevée de 1,2%.
« Cette fraction des recettes sera affectée de façon pérenne à l'audiovisuel public », précise Fleur Pellerin, tout en espérant que les FAI ne refileront pas la facture aux consommateurs. Enfin, il n'est pas question du retour de la publicité après 20 heures sur le service public : « Les chaînes privées doivent avoir les moyens de contribuer au pluralisme de l'information et à la création, notamment au financement du cinéma ».