En 2012 en effet, l’avionneur remportait un appel d’offres massif : 126 Rafale, pour un montant de 15 milliards de dollars. Problème : le contrat n’a jamais été finalisé, pour cause d’instabilité politique d’une part, et pour des problèmes de garanties d’autre part.
Dans le détail, Dassault devait livrer 18 avions assemblés, et laisser une entreprise locale, HAL, assembler les 108 Rafale restants, tout en garantissant les appareils produits par cette société. Une mission impossible pour l’avionneur, qui n’a pas pu encore trouver de terrain d’entente avec l’Inde.
La signature du contrat avec l’Égypte pourrait débloquer et accélérer les choses, espère Laurent Fabius le ministre des Affaires étrangères. Le ministre de la Défense indien a lui déclaré qu’une décision pourrait tomber en mars. Le Premier ministre indien étant attendu à Paris en avril, ce pourrait être là l’occasion d’un joli contrat.
Dans le détail, Dassault devait livrer 18 avions assemblés, et laisser une entreprise locale, HAL, assembler les 108 Rafale restants, tout en garantissant les appareils produits par cette société. Une mission impossible pour l’avionneur, qui n’a pas pu encore trouver de terrain d’entente avec l’Inde.
La signature du contrat avec l’Égypte pourrait débloquer et accélérer les choses, espère Laurent Fabius le ministre des Affaires étrangères. Le ministre de la Défense indien a lui déclaré qu’une décision pourrait tomber en mars. Le Premier ministre indien étant attendu à Paris en avril, ce pourrait être là l’occasion d’un joli contrat.