Peter Hartz, âgé aujourd’hui de 73 ans, est surtout connu pour deux choses. Il a d’une part été le Directeur des Ressources Humaines de Volkswagen jusqu’en 2005 mais il a surtout été l’homme derrière le chancelier allemand Gerard Schröder à l’origine de diverses réformes qui, selon les spécialistes, seraient à la base de la compétitivité de l’Allemagne aujourd’hui.
En effet, lorsque Gerard Schröder a dévoilé, en 2003, son plan de développement appelé « l’Agenda 2010 », celui qui était le conseiller de Schröder était bel et bien Peter Hartz. Dans ce plan, de nombreuses réformes de fond auraient permis à l’Allemagne de rester compétitive et de sortir de la crise économique de 2008 la tête haute.
Parmi les réformes les plus emblématiques, Peter Hartz est à l’origine de la réduction du temps d’indemnisation des chômeurs de 32 à 12 semaines ainsi que de l’obligation pour les chômeurs d’accepter un travail même si le salaire de celui-ci est inférieur à l’indemnisation touchée. Des réformes qui n’ont pas eu uniquement des effets positifs selon de nombreuses associations.
En effet, Peter Hartz est considéré également comme celui qui a précarisé l’emploi allemand et a fait croître le nombre de personnes « pauvres » dans le pays à des niveaux jamais vus (15,2 % en 2012). Un risque donc que pourrait également courir la France si le gouvernement s’engage dans une lutte contre le chômage coûte que coûte.
En effet, lorsque Gerard Schröder a dévoilé, en 2003, son plan de développement appelé « l’Agenda 2010 », celui qui était le conseiller de Schröder était bel et bien Peter Hartz. Dans ce plan, de nombreuses réformes de fond auraient permis à l’Allemagne de rester compétitive et de sortir de la crise économique de 2008 la tête haute.
Parmi les réformes les plus emblématiques, Peter Hartz est à l’origine de la réduction du temps d’indemnisation des chômeurs de 32 à 12 semaines ainsi que de l’obligation pour les chômeurs d’accepter un travail même si le salaire de celui-ci est inférieur à l’indemnisation touchée. Des réformes qui n’ont pas eu uniquement des effets positifs selon de nombreuses associations.
En effet, Peter Hartz est considéré également comme celui qui a précarisé l’emploi allemand et a fait croître le nombre de personnes « pauvres » dans le pays à des niveaux jamais vus (15,2 % en 2012). Un risque donc que pourrait également courir la France si le gouvernement s’engage dans une lutte contre le chômage coûte que coûte.