Les deux syndicats les plus contestataires ont appelé à une nouvelle grève ces vendredi 6 et samedi 7 juillet... premier week-end de départs pour les vacances d'été. La SNCF a donné ses prévisions pour ce vendredi : quatre TGV et TER sur cinq, deux trains Intercités sur trois et trois Transilien sur quatre circuleront en moyenne. La circulation sera normale pour les trains internationaux Eurostar, Thalys et la liaison entre la France et l'Espagne. Le Lyria affichera un train sur deux, deux trains sur trois pour la liaison France - Italie.
Dans son communiqué, la SNCF indique que « plus de 600 TGV circuleront chaque jour, vendredi et samedi, avec près de 100% de trains garantis pour les destinations touristiques telles que Paris-Marseille, Paris-Nice, Paris-Montpellier, Paris-Perpignan, Paris-Bordeaux, Paris-Rennes ». Les voyageurs ayant réservé leur train pour ce vendredi ont été contactés par SMS ou par e-mail ; par ailleurs, les billets demeurent « remboursables et échangeables sans surcoût », rassure la compagnie.
Les deux syndicats toujours en pointe dans le combat contre la réforme — bien que celle-ci ait été votée et signée par Emmanuel Macron — comptent poursuivre leur mouvement, quitte à se mettre les Français à dos. Pour la CGT, il s’agit de « peser » sur les négociations pour la future convention collective ; SUD réclame toujours l’abrogation de la loi. Plus globalement, ce nouveau mouvement vise aussi à améliorer les conditions de travail et obtenir des augmentations de salaire.
Dans son communiqué, la SNCF indique que « plus de 600 TGV circuleront chaque jour, vendredi et samedi, avec près de 100% de trains garantis pour les destinations touristiques telles que Paris-Marseille, Paris-Nice, Paris-Montpellier, Paris-Perpignan, Paris-Bordeaux, Paris-Rennes ». Les voyageurs ayant réservé leur train pour ce vendredi ont été contactés par SMS ou par e-mail ; par ailleurs, les billets demeurent « remboursables et échangeables sans surcoût », rassure la compagnie.
Les deux syndicats toujours en pointe dans le combat contre la réforme — bien que celle-ci ait été votée et signée par Emmanuel Macron — comptent poursuivre leur mouvement, quitte à se mettre les Français à dos. Pour la CGT, il s’agit de « peser » sur les négociations pour la future convention collective ; SUD réclame toujours l’abrogation de la loi. Plus globalement, ce nouveau mouvement vise aussi à améliorer les conditions de travail et obtenir des augmentations de salaire.