cc/flickr/marcopako
Diplômé en économie à l’université Luiss de Rome, Luca Maestri se profilait, selon Tim Cook, dès le départ comme successeur d’Oppenheimer « Quand nous l’avons embauché, nous savions que ce serait le successeur de Peter » a déclaré le PDG d’Apple.
En moins d’un an, Luca Maestri étant arrivé chez Apple en 2013, l’italien a réussi à conquérir le respect de ses collègues. Notamment par son parcours qui l’a vu au centre de grands changements. Après 20 ans chez General Motors, où il a gravi les échelons et parcouru le monde, il a acquis une connaissance sans précédents des marchés asiatiques.
En 2008, il a été au centre de l’évolution de Nokia-Siemens, même si au final la joint-venture entre les finlandais et les allemands s’est récemment terminée, puis est passé chez Xerox qui a dû faire face au déclin de son cœur de cible : la photocopie papier (un « core business » des plus emblématiques puisque « to xerox » signifie aujourd’hui en anglais « photocopier »). Maestri a permis à Xerox de rebondir en incitant la diversification des services.
Le choix d’Apple semble donc logique : Luca Maestri est en mesure de gérer, entre autres, l’entrée d’Apple sur le marché chinois et les opportunités que ce nouveau marché peut apporter à la firme de Cupertino. Mais il va devoir faire avec l’héritage d’Oppenheimer, l’homme qui a réalisé le miracle Apple.
Car Oppenheimer a permis, en une dizaine d’année, de faire passer la réserve de cash d’Apple de quelques 8 milliards de dollars aux plus de 170 milliards de dollars actuels. Un héritage difficile, donc, mais qui ne semble pas faire peur à celui que l’on dit perfectionniste, réservé et ambitieux.
En moins d’un an, Luca Maestri étant arrivé chez Apple en 2013, l’italien a réussi à conquérir le respect de ses collègues. Notamment par son parcours qui l’a vu au centre de grands changements. Après 20 ans chez General Motors, où il a gravi les échelons et parcouru le monde, il a acquis une connaissance sans précédents des marchés asiatiques.
En 2008, il a été au centre de l’évolution de Nokia-Siemens, même si au final la joint-venture entre les finlandais et les allemands s’est récemment terminée, puis est passé chez Xerox qui a dû faire face au déclin de son cœur de cible : la photocopie papier (un « core business » des plus emblématiques puisque « to xerox » signifie aujourd’hui en anglais « photocopier »). Maestri a permis à Xerox de rebondir en incitant la diversification des services.
Le choix d’Apple semble donc logique : Luca Maestri est en mesure de gérer, entre autres, l’entrée d’Apple sur le marché chinois et les opportunités que ce nouveau marché peut apporter à la firme de Cupertino. Mais il va devoir faire avec l’héritage d’Oppenheimer, l’homme qui a réalisé le miracle Apple.
Car Oppenheimer a permis, en une dizaine d’année, de faire passer la réserve de cash d’Apple de quelques 8 milliards de dollars aux plus de 170 milliards de dollars actuels. Un héritage difficile, donc, mais qui ne semble pas faire peur à celui que l’on dit perfectionniste, réservé et ambitieux.