cc/flickr/bob august
Les librairies Chapitre, anciennement propriété du groupe Actissia (qui détient également France Loisir et continuera de garder le site internet Chapitre.com), n’existent définitivement plus. Le tribunal de commerce de la ville de Paris a validé les dernières propositions de reprises de librairies. Au total, 34 librairies seront sauvées, souvent reprises par les employés, les dirigeants ou les anciens propriétaires.
Les propositions de reprises ont toutefois été jugées insuffisantes pour quelques 23 magasins dont les employés se retrouveront sans emploi. Au total, sur les 1 200 employés que les 57 librairies réparties sur le territoire français employaient, 750 emplois seront sauvés tandis que 434 seront détruits selon le communiqué de la direction du groupe publié lundi dans la soirée.
C’est donc un nouvelle en demi-teinte pour l’emploi et pour le secteur de la culture en général frappé non seulement par la crise mais également par l’avènement de nouveaux supports et la concurrence des géants de la vente sur Internet qui peuvent pratiquer des prix plus bas et avoir une offre plus développée.
Toutefois, la volonté de reprise qui a permis de sauver plus de la moitié des librairies montre que le secteur de la culture a encore du potentiel.
Les propositions de reprises ont toutefois été jugées insuffisantes pour quelques 23 magasins dont les employés se retrouveront sans emploi. Au total, sur les 1 200 employés que les 57 librairies réparties sur le territoire français employaient, 750 emplois seront sauvés tandis que 434 seront détruits selon le communiqué de la direction du groupe publié lundi dans la soirée.
C’est donc un nouvelle en demi-teinte pour l’emploi et pour le secteur de la culture en général frappé non seulement par la crise mais également par l’avènement de nouveaux supports et la concurrence des géants de la vente sur Internet qui peuvent pratiquer des prix plus bas et avoir une offre plus développée.
Toutefois, la volonté de reprise qui a permis de sauver plus de la moitié des librairies montre que le secteur de la culture a encore du potentiel.