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Si le diesel affiche un prix à la pompe moins élevé que l’essence c’est aussi car les taxes qui pèsent sur ce carburant sont moins élevées que celles sur l’essence. L’écart va se réduire un peu en 2018 : le gouvernement va faire évoluer plus rapidement les taxes sur le diesel que celles sur l’essence.
Ainsi, selon le journal Les Echos, le gouvernement a prévu de faire augmenter les taxes pesant sur le diesel de plus de 7 centimes d’euro le litre. Une augmentation qui serait proche des 10 % puisque sur le prix payé par l’automobiliste à la pompe, environ 1,18 euro le litre fin septembre 2017, les taxes représentent 70 centimes d’euro.
La fiscalité de l’essence va aussi évoluer en 2018 selon le projet du gouvernement dévoilé par Les Echos : le prix à la pompe devrait grimper d’environ 3,9 centimes uniquement du fait de l’augmentation des taxes. De fait, l’écart entre la fiscalité du diesel et de l’essence va se réduire alors que le gouvernement vise à l’éliminer définitivement avant la fin du quinquennat.
Le gouvernement estime que ces augmentations viendront compenser la baisse du prix des carburants à la pompe depuis le début de l’année 2017. Or, les prix sur les marchés sont remontés en septembre 2017 au-delà des prix de janvier 2017, surtout en ce qui concerne le baril de Brent. Cet argument du gouvernement ne tient donc plus la route, ce qui ne devrait pas l’empêcher de poursuivre dans le projet d’augmentation de la fiscalité des carburants traditionnels.
Ainsi, selon le journal Les Echos, le gouvernement a prévu de faire augmenter les taxes pesant sur le diesel de plus de 7 centimes d’euro le litre. Une augmentation qui serait proche des 10 % puisque sur le prix payé par l’automobiliste à la pompe, environ 1,18 euro le litre fin septembre 2017, les taxes représentent 70 centimes d’euro.
La fiscalité de l’essence va aussi évoluer en 2018 selon le projet du gouvernement dévoilé par Les Echos : le prix à la pompe devrait grimper d’environ 3,9 centimes uniquement du fait de l’augmentation des taxes. De fait, l’écart entre la fiscalité du diesel et de l’essence va se réduire alors que le gouvernement vise à l’éliminer définitivement avant la fin du quinquennat.
Le gouvernement estime que ces augmentations viendront compenser la baisse du prix des carburants à la pompe depuis le début de l’année 2017. Or, les prix sur les marchés sont remontés en septembre 2017 au-delà des prix de janvier 2017, surtout en ce qui concerne le baril de Brent. Cet argument du gouvernement ne tient donc plus la route, ce qui ne devrait pas l’empêcher de poursuivre dans le projet d’augmentation de la fiscalité des carburants traditionnels.