cc/flickr/Simon Q
Selon l’étude Universum publiée cette année, les deux grandes marques les plus recherchées par les étudiants français sont LVMH, notamment chez les étudiants en école de commerce (ils sont près d’un quart à vouloir travailler pour le groupe de luxe) et L’Oréal qui attire toujours.
Suivent, ensuite, les géants de la haute-technologie (qui attirent surtout les élèves d’écoles d’ingénieurs) où la première place est détenue sans surprises par Google (troisième au classement global). Apple arrive après son concurrent et le Top 5 est clos par Canal +.
Mais les élèves ingénieurs ne dédaignent pas non plus des grands noms de l’aéronautique comme EADS, Thales, Dassault Aviation et Safran.
Les PME, de leur côté, malgré les perspectives d’évolution qu’elles présentent, ont plus de mal à convaincre les futurs diplômés. Seuls 40% se disent attirés par les entreprises de moins de 500 employés. Une situation qui est assez partagée entre les élèves ingénieurs (41% sont attirés par les PME) et les élèves en école de commerce (39% seraient attirés par un emploi dans une PME).
Au niveau salaire, les prétentions sont très différentes entre les sexes. Si, pour un élève en école de commerce, le salaire annuel moyen espéré est de 34 780 euros, il monte à 37 276 euros chez les hommes et descend à 32 880 euros chez les femmes.
Et c’est de même chez les ingénieurs qui, en moyenne, espèrent 36 382 euros de salaire mais les hommes espère plus (37 060 euros par an) et les femmes moins (33 928 euros).
Suivent, ensuite, les géants de la haute-technologie (qui attirent surtout les élèves d’écoles d’ingénieurs) où la première place est détenue sans surprises par Google (troisième au classement global). Apple arrive après son concurrent et le Top 5 est clos par Canal +.
Mais les élèves ingénieurs ne dédaignent pas non plus des grands noms de l’aéronautique comme EADS, Thales, Dassault Aviation et Safran.
Les PME, de leur côté, malgré les perspectives d’évolution qu’elles présentent, ont plus de mal à convaincre les futurs diplômés. Seuls 40% se disent attirés par les entreprises de moins de 500 employés. Une situation qui est assez partagée entre les élèves ingénieurs (41% sont attirés par les PME) et les élèves en école de commerce (39% seraient attirés par un emploi dans une PME).
Au niveau salaire, les prétentions sont très différentes entre les sexes. Si, pour un élève en école de commerce, le salaire annuel moyen espéré est de 34 780 euros, il monte à 37 276 euros chez les hommes et descend à 32 880 euros chez les femmes.
Et c’est de même chez les ingénieurs qui, en moyenne, espèrent 36 382 euros de salaire mais les hommes espère plus (37 060 euros par an) et les femmes moins (33 928 euros).