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C’est pendant une interview à France 3 que Ségolène Royal a annoncé qu’elle donnerait son feu vert à un prolongement de la durée de vie des centrales nucléaires françaises. Dix ans de vie supplémentaires, soit 50 ans en tout. « Oui, je suis prête à donner ce feu vert, sous réserve de l'avis de l'Autorité de sûreté nucléaire », a souligné la ministre de l’Écologie.
Cette prolongation sera au bénéfice du consommateur, assure Ségolène Royal : les centrales étant « déjà amorties », elles produiront « une électricité meilleur marché ». Ce prolongement était aussi le vœu du patron d’EDF, Jean-Bernard Levy, qui attendait cet accord. Mi-février, il déclarait déjà que « l’État avait donné son accord pour que nous modernisions le parc actuel de façon à ce que la durée de vie qui a été conçue pour 40 ans, nous la montions à 50 et 60 ans, sous réserve que la sécurité nucléaire soit garantie ». Dont acte.
Cette prolongation doit toutefois se réaliser dans le cadre de la loi sur la transition énergétique, votée l’an dernier, qui statue que la part de l’énergie nucléaire doit à terme baisser d’un quart, à 50%. Rien ne change de ce côté, a assuré Ségolène Royal.
Cette prolongation sera au bénéfice du consommateur, assure Ségolène Royal : les centrales étant « déjà amorties », elles produiront « une électricité meilleur marché ». Ce prolongement était aussi le vœu du patron d’EDF, Jean-Bernard Levy, qui attendait cet accord. Mi-février, il déclarait déjà que « l’État avait donné son accord pour que nous modernisions le parc actuel de façon à ce que la durée de vie qui a été conçue pour 40 ans, nous la montions à 50 et 60 ans, sous réserve que la sécurité nucléaire soit garantie ». Dont acte.
Cette prolongation doit toutefois se réaliser dans le cadre de la loi sur la transition énergétique, votée l’an dernier, qui statue que la part de l’énergie nucléaire doit à terme baisser d’un quart, à 50%. Rien ne change de ce côté, a assuré Ségolène Royal.