Un troisième trimestre convaincant
Le chômage dans la catégorie A (les personnes n'ayant pas du tout travaillé) a reculé de 0,4% au troisième trimestre, soit 15 800 chômeurs rayés des listes de Pôle Emploi. La France dénombrait 3,617 millions de chômeurs inscrits dans cette catégorie (3,364 millions en métropole). Au deuxième trimestre, la baisse avait été équivalente avec le même nombre de personnes sorties des statistiques. La baisse s'établit à 2,4% sur un an.
Dans les trois catégories A, B et C, le nombre de chômeurs a reculé de 0,9%, ce qui représente 52 100 personnes de moins pour un total de 5,836 millions. Ce tableau plutôt positif cache tout de même un point noir : sur le trimestre, le chômage a augmenté de 0,7% chez les moins de 25 ans. Les jeunes inscrits dans les catégories A, B et C sont toutefois en baisse de 0,8% sur un an, mais ils demeurent tout de même très nombreux (2,628 millions).
Dans les trois catégories A, B et C, le nombre de chômeurs a reculé de 0,9%, ce qui représente 52 100 personnes de moins pour un total de 5,836 millions. Ce tableau plutôt positif cache tout de même un point noir : sur le trimestre, le chômage a augmenté de 0,7% chez les moins de 25 ans. Les jeunes inscrits dans les catégories A, B et C sont toutefois en baisse de 0,8% sur un an, mais ils demeurent tout de même très nombreux (2,628 millions).
7%, un « horizon possible »
L'objectif de l'exécutif est de réduire le taux de chômage à 7% d'ici la fin du quinquennat, en 2022. Un « horizon possible », selon la ministre du Travail, Muriel Pénicaud qui pointe tout de même des « conditions macroéconomiques mondiales et européennes » qui pourraient amener « la récession en Europe et en France ». La croissance tricolore devrait tourner autour de 1,3% en 2019, une performance en regard des difficultés de nos voisins européens.
Les incertitudes du Brexit et les tensions commerciales entre les États-Unis et la Chine ont des répercussions sur l'activité mondiale et européenne. L'économie française, moins exposée aux variations des échanges commerciaux internationaux, s'en sort assez bien jusqu'à présent, mais cela pourrait changer si les choses ne s'amélioraient pas rapidement.
Les incertitudes du Brexit et les tensions commerciales entre les États-Unis et la Chine ont des répercussions sur l'activité mondiale et européenne. L'économie française, moins exposée aux variations des échanges commerciaux internationaux, s'en sort assez bien jusqu'à présent, mais cela pourrait changer si les choses ne s'amélioraient pas rapidement.