Un sommet pour changer le monde
Alors que les dirigeants des grandes puissances se réunissaient à Cannes pour faire des promesses sur fond de campagne électorale, les jeunes entrepreneurs du G20 YES ont fait savoir qu’ils s’engageaient, eux, dans le changement du monde. Petites ou grandes, les entreprises sont le cœur de nos sociétés et doivent donc interagir avec ces dernières d'une manière qui soit bénéfique pour les deux. L'aspect social du travail est un point clé tout autant que l'impact environnemental, car aujourd'hui, un avenir durable ne peut pas se faire avec un seul objectif économique. Ainsi, durant les trois jours de conférence de ce sommet, les entrepreneurs n'ont pas manqué d'enthousiasme et de curiosité, bien que certains fussent fatigués de leur voyage. Le besoin d'apprendre de l'autre n'a jamais été aussi palpable, et tous, se sentant investis de la mission de changer le monde, ont parlé des faiblesses et des forces de leurs entreprises respectives, pour alimenter le débat autour des solutions d'avenir. De manière unanime, les entrepreneurs veulent donner du sens à leur entreprise, cette dernière devant répondre à des besoins concrets tout en s'inscrivant dans une démarche responsable où tout le monde trouve son bonheur. En parlant de social, cela revient à partager les richesses individuelles et à témoigner une plus grande reconnaissance à l’égard de ses employés.
Humaniser l'entreprise, et faire rêver
Les techniques managériales sont en profonde mutation et commencent à sortir du modèle classique de pilotage d'entreprise. Ainsi, c'est aussi pour mieux comprendre le succès des entrepreneurs qui donnent une place importante à leurs employés que ce sommet a eu lieu. Les échanges constructifs en ont inspiré plus d'un sur les méthodes à mettre en place, pour favoriser le bien-être et la cohésion de leurs équipes. Caroline Lisfranc, designer et fondatrice de CL Premium, exprime par exemple son enthousiasme à vouloir rendre les gens heureux et à leur donner de la reconnaissance. Pour cela, elle explique comment ses équipes doivent lui raconter la manière dont elles ont vécu leurs missions à l'étranger, et ce qui les a rendus fiers. Une méthode toute simple, à laquelle il fallait tout de même penser. Ainsi, de témoignages en vidéo projections, les entrepreneurs présents lors du G20 YES ont enflammé les débats par leurs interventions passionnées, avec une même envie de changer le monde et la conviction que tous peuvent y arriver. C'est aussi du rêve qu'il faut donner aux gens, à commencer par les employés lorsqu'il s'agit d'une entreprise, car ce sont eux qui permettent à cette dernière de fonctionner. Tous ces jeunes entrepreneurs se veulent être les instigateurs du changement et se qualifient de porteurs d'un bien-être, dont les dirigeants des grandes puissances doivent tenir compte pour que les législations des différents pays aillent dans ce sens.
Alors que les dirigeants des grandes puissances se réunissaient à Cannes pour faire des promesses sur fond de campagne électorale, les jeunes entrepreneurs du G20 YES ont fait savoir qu’ils s’engageaient, eux, dans le changement du monde. Petites ou grandes, les entreprises sont le cœur de nos sociétés et doivent donc interagir avec ces dernières d'une manière qui soit bénéfique pour les deux. L'aspect social du travail est un point clé tout autant que l'impact environnemental, car aujourd'hui, un avenir durable ne peut pas se faire avec un seul objectif économique. Ainsi, durant les trois jours de conférence de ce sommet, les entrepreneurs n'ont pas manqué d'enthousiasme et de curiosité, bien que certains fussent fatigués de leur voyage. Le besoin d'apprendre de l'autre n'a jamais été aussi palpable, et tous, se sentant investis de la mission de changer le monde, ont parlé des faiblesses et des forces de leurs entreprises respectives, pour alimenter le débat autour des solutions d'avenir. De manière unanime, les entrepreneurs veulent donner du sens à leur entreprise, cette dernière devant répondre à des besoins concrets tout en s'inscrivant dans une démarche responsable où tout le monde trouve son bonheur. En parlant de social, cela revient à partager les richesses individuelles et à témoigner une plus grande reconnaissance à l’égard de ses employés.
Humaniser l'entreprise, et faire rêver
Les techniques managériales sont en profonde mutation et commencent à sortir du modèle classique de pilotage d'entreprise. Ainsi, c'est aussi pour mieux comprendre le succès des entrepreneurs qui donnent une place importante à leurs employés que ce sommet a eu lieu. Les échanges constructifs en ont inspiré plus d'un sur les méthodes à mettre en place, pour favoriser le bien-être et la cohésion de leurs équipes. Caroline Lisfranc, designer et fondatrice de CL Premium, exprime par exemple son enthousiasme à vouloir rendre les gens heureux et à leur donner de la reconnaissance. Pour cela, elle explique comment ses équipes doivent lui raconter la manière dont elles ont vécu leurs missions à l'étranger, et ce qui les a rendus fiers. Une méthode toute simple, à laquelle il fallait tout de même penser. Ainsi, de témoignages en vidéo projections, les entrepreneurs présents lors du G20 YES ont enflammé les débats par leurs interventions passionnées, avec une même envie de changer le monde et la conviction que tous peuvent y arriver. C'est aussi du rêve qu'il faut donner aux gens, à commencer par les employés lorsqu'il s'agit d'une entreprise, car ce sont eux qui permettent à cette dernière de fonctionner. Tous ces jeunes entrepreneurs se veulent être les instigateurs du changement et se qualifient de porteurs d'un bien-être, dont les dirigeants des grandes puissances doivent tenir compte pour que les législations des différents pays aillent dans ce sens.