Le Premier ministre grec a estimé que cet examen aboutira à une conclusion « Favorable »… mais que les créanciers ne devront rien exiger d' « illogique ». Selon lui, l'Union européenne et le FMI, les principaux bailleurs de fonds de la Grèce, doivent se montrer « plus prudents envers un pays qui a été pillé et un peuple qui a fait et continue de faire tant de sacrifices au nom de l'Europe ». L'ambiance n'est donc pas au beau fixe entre les parties.
Si les négociations devaient s'achever dans l'intérêt de tous, la Grèce sera en bonne voie pour rembourser 7,2 milliards d'euros de dettes publiques, dont l'échéance est fixée au mois de juillet. Du côté de l'Eurogroupe, on indique que les discussions ont suffisamment avancé concernant les réformes à mettre en œuvre qui permettront à Athènes de recevoir une nouvelle tranche d'aide.
Les créanciers du pays veulent que le pays lancent de nouvelles réformes qui représentent 1% du PIB grec, soit 1,8 milliard d'euros, d'ici 2018. Puis de 1,8 milliard d'euros supplémentaires après 2018. Le menu n'est pas réjouissant pour Alexis Tsipras : élargissement de l'assiette fiscale et baisse du coût du système des retraites. Or, depuis 2010 Athènes a procédé à 11 révisions des pensions.
Si les négociations devaient s'achever dans l'intérêt de tous, la Grèce sera en bonne voie pour rembourser 7,2 milliards d'euros de dettes publiques, dont l'échéance est fixée au mois de juillet. Du côté de l'Eurogroupe, on indique que les discussions ont suffisamment avancé concernant les réformes à mettre en œuvre qui permettront à Athènes de recevoir une nouvelle tranche d'aide.
Les créanciers du pays veulent que le pays lancent de nouvelles réformes qui représentent 1% du PIB grec, soit 1,8 milliard d'euros, d'ici 2018. Puis de 1,8 milliard d'euros supplémentaires après 2018. Le menu n'est pas réjouissant pour Alexis Tsipras : élargissement de l'assiette fiscale et baisse du coût du système des retraites. Or, depuis 2010 Athènes a procédé à 11 révisions des pensions.