"Ce n'est pas dans le programme, mais j'aimerai que le temps périscolaire permette ce genre d'ateliers un peu partout en France". L'apprentissage du code informatique ne va pas devenir donc du jour au lendemain une discipline obligatoire et incontournable au même titre que les maths le français ou l'histoire-géographie, mais la secrétaire d'Etat au numérique ne veut pas que les petits français perdent du terrain par rapport aux enfants d'autres pays qui eux, apprennent déjà le code informatique à l'école, le plus souvent au collège, parfois, en primaire (Etats-Unis, Corée...)
"On apprend le chinois, il faut apprendre à coder" à notamment affirmé la jeune ministre, qui reprend en fait une proposition issue d'un rapport de deux députés, Laure de la Raudière (UMP) et Corinne Erhel (PS), qui rendu public jeudi 15 mai. Dans ce rapport de 140 pages les deux élues proposent l'enseignement obligatoire de l'informatique dans le secondaire, "quitte à supprimer une autre matière moins nécessaire".
Les chefs d'entreprise se plaignent régulièrement du surprenant faible niveau de connaissances et de compétences en matière informatique de leurs salariés en général, mais surtout des jeunes lorsqu'ils décrochent un premier emploi. La fameuse génération Y, sensée être "tombée dans l'informatique" quand elle était petite, n'est pas plus performante souvent que ses ainés, voire moins. Manque de curiosité, de formation ? Dans tous les cas, que les employés et salariés de demain apprennent et maîtrisent à l'école les bases de l'informatique, voire, un ou plusieurs langages de programmation, ne peut-être que profitables à la compétitivité et l'inventivité française...
"On apprend le chinois, il faut apprendre à coder" à notamment affirmé la jeune ministre, qui reprend en fait une proposition issue d'un rapport de deux députés, Laure de la Raudière (UMP) et Corinne Erhel (PS), qui rendu public jeudi 15 mai. Dans ce rapport de 140 pages les deux élues proposent l'enseignement obligatoire de l'informatique dans le secondaire, "quitte à supprimer une autre matière moins nécessaire".
Les chefs d'entreprise se plaignent régulièrement du surprenant faible niveau de connaissances et de compétences en matière informatique de leurs salariés en général, mais surtout des jeunes lorsqu'ils décrochent un premier emploi. La fameuse génération Y, sensée être "tombée dans l'informatique" quand elle était petite, n'est pas plus performante souvent que ses ainés, voire moins. Manque de curiosité, de formation ? Dans tous les cas, que les employés et salariés de demain apprennent et maîtrisent à l'école les bases de l'informatique, voire, un ou plusieurs langages de programmation, ne peut-être que profitables à la compétitivité et l'inventivité française...