De fait, le déficit devrait se monter à 3,2% du PIB l’année prochaine, alors qu’il s’établira sans doute à 3,3% en 2016, comme le gouvernement l’avait annoncé. Fitch salue d’ailleurs l'engagement politique des pouvoirs publics concernant la restriction de dépenses. Mais la présidentielle et les législatives du printemps vont pousser les feux sous les dépenses, prévient l’agence.
Fitch reste toutefois confiant dans la capacité de l’économie française à maintenir le cap. La note de la France reste donc fixé à AA, avec une perspective « stable ». L’agence de notation a pris en compte la « solide flexibilité financière [de la France], en tant que membre de base de la zone euro, par son accès aux marchés financiers et aux liquidités de la zone euro, et par sa dette publique entièrement libellée en euros ».
L’économie du pays est de plus « riche et diversifié », et il bénéficie d’une bonne stabilité macro-financière. En revanche, le déficit budgétaire pèse sur les comptes, tout comme l’endettement élevé qui « limite la capacité de la France à faire face aux chocs économiques et fiscaux. Il constitue la principale faiblesse de la note souveraine de la France ». Transmis à la prochaine majorité…
Fitch reste toutefois confiant dans la capacité de l’économie française à maintenir le cap. La note de la France reste donc fixé à AA, avec une perspective « stable ». L’agence de notation a pris en compte la « solide flexibilité financière [de la France], en tant que membre de base de la zone euro, par son accès aux marchés financiers et aux liquidités de la zone euro, et par sa dette publique entièrement libellée en euros ».
L’économie du pays est de plus « riche et diversifié », et il bénéficie d’une bonne stabilité macro-financière. En revanche, le déficit budgétaire pèse sur les comptes, tout comme l’endettement élevé qui « limite la capacité de la France à faire face aux chocs économiques et fiscaux. Il constitue la principale faiblesse de la note souveraine de la France ». Transmis à la prochaine majorité…