500 millions d’euros par mois pour fermer les centres commerciaux
Pixabay/cocoparisienne
L’annonce de la fermeture des centres commerciaux a été marquée par quelques incompréhensions de la part des clients et des magasins eux-mêmes, certains ayant ouvert alors qu’ils auraient dû fermé, d’autres ayant annoncé leur ouverture mais étant finalement restés fermés. Une situation qui n’a pas manqué d’énerver les clients, et les gérants eux-mêmes.
Désormais, on sait également quel est le coût de cette nouvelle décision prise pour endiguer la pandémie de Covid-19. Bruno Le Maire, ministre de l’Économie, a déclaré lundi 1er février 2021 sur RTL que 27.000 commerces contraints de fermer leurs portes pourront être éligibles au fonds de solidarité et aux aides de l’État. Coût total de la mesure : 500 millions d’euros par mois, selon les calculs du gouvernement, alors que la décision de fermer les centres commerciaux a une durée d’un mois au minimum.
Désormais, on sait également quel est le coût de cette nouvelle décision prise pour endiguer la pandémie de Covid-19. Bruno Le Maire, ministre de l’Économie, a déclaré lundi 1er février 2021 sur RTL que 27.000 commerces contraints de fermer leurs portes pourront être éligibles au fonds de solidarité et aux aides de l’État. Coût total de la mesure : 500 millions d’euros par mois, selon les calculs du gouvernement, alors que la décision de fermer les centres commerciaux a une durée d’un mois au minimum.
Un coût assumé bien inférieur au reconfinement
S’il faudra donc ajouter encore 500 millions d’euros à la facture finale de la crise sanitaire, Bruno Le Maire a tenu à préciser que le coût était, malgré tout, assumé, tout comme celui du couvre-feu. Ce dernier coûte à l’État environ « 6 milliards d’euros par mois » en aides et autres mesures. « Le confinement total, avec fermeture des commerces et des écoles, c’est 15 milliards d’euros par mois », a précisé le ministre.
De quoi justifier cette décision inattendue de ne pas reconfiner, malgré les appels répétés des spécialistes qui craignent que le nouveau variant n’entraîne un emballement de la pandémie dans les semaines à venir.
De quoi justifier cette décision inattendue de ne pas reconfiner, malgré les appels répétés des spécialistes qui craignent que le nouveau variant n’entraîne un emballement de la pandémie dans les semaines à venir.