cc/flickr/BenjaminThompson
Disney a toujours été très attentif aux discriminations qui sont quasiment absentes de toutes ses créations. Il suffit de regarder dans les bandes dessinées où canards, souris et autres animaux vivaient en parfaite harmonie dans des familles très peu standard où les enfants sont élevés par des oncles et des tantes plus que par des pères et des mères.
Alors quand il s’agit d’homosexualité, bien que Disney n’ait pas encore osé aborder la question dans un de ses films, le groupe ne peut pas fermer les yeux. Or, les boyscouts ne sont pas un modèle d’intégration pour les homosexuels puisque ce n’est que depuis le 1er janvier 2014 que les jeunes homosexuels sont autorisés à faire partie du groupe. Une décision qui a été critiquée par les mouvements les plus conservateurs des Boyscouts et qui a failli déchirer l’association.
Mais si aujourd’hui un jeune gay peut être boyscout, il n’ira pas loin. Le règlement intérieur de l’association interdit en effet formellement à tout homosexuel de devenir chef scout ou d’avoir une place importante dans l’association.
Une règle qui n’est pas conforme aux règles qui établissent que les bénéficiaires des quelques 5 millions de dollars annuels dévolus aux associations par Disney ne doivent pas « mettre en œuvre des politiques discriminatrices sur la base du sexe, de la race, de la religion, des opinions politiques ou de l’orientation sexuelle ».
Ainsi faisant, Disney prive certes les Boy Scouts of America d’une bonne partie de leurs subventions, mais met l’accent sur une facette de l’association peu connue et surtout vivement critiquée par les défenseurs de l’égalité pour les homosexuels.
Alors quand il s’agit d’homosexualité, bien que Disney n’ait pas encore osé aborder la question dans un de ses films, le groupe ne peut pas fermer les yeux. Or, les boyscouts ne sont pas un modèle d’intégration pour les homosexuels puisque ce n’est que depuis le 1er janvier 2014 que les jeunes homosexuels sont autorisés à faire partie du groupe. Une décision qui a été critiquée par les mouvements les plus conservateurs des Boyscouts et qui a failli déchirer l’association.
Mais si aujourd’hui un jeune gay peut être boyscout, il n’ira pas loin. Le règlement intérieur de l’association interdit en effet formellement à tout homosexuel de devenir chef scout ou d’avoir une place importante dans l’association.
Une règle qui n’est pas conforme aux règles qui établissent que les bénéficiaires des quelques 5 millions de dollars annuels dévolus aux associations par Disney ne doivent pas « mettre en œuvre des politiques discriminatrices sur la base du sexe, de la race, de la religion, des opinions politiques ou de l’orientation sexuelle ».
Ainsi faisant, Disney prive certes les Boy Scouts of America d’une bonne partie de leurs subventions, mais met l’accent sur une facette de l’association peu connue et surtout vivement critiquée par les défenseurs de l’égalité pour les homosexuels.