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La BCC a publié ses estimations de croissance post-Brexit et elles ont été fortement revues à la baisse par rapport aux précédentes, publiées avant l'annonce de la sortie du Royaume-Uni de l'Union Européenne. L'impact négatif se ferait déjà sentir en 2016 avec une croissance de 1,8 % contre les 2,2 % attendus précédemment, et ce avant même que ne soit invoqué le célèbre article 50 du traité de Lisbonne.
C'est en 2017 que le coup sera le plus dur pour l'économie britannique : de 2,3 % de croissance avant le Brexit, la BCC ne s'attend plus qu'à 1 % de croissance sur l'année. Theresa May, Première ministre britannique, l'avait dit : même si la panique ne s'est pas emparée des marchés, le Brexit allait être un coup dur à encaisser pour l'économie. En 2018 la situation s'améliore mais reste toujours en-dessous des précédentes estimations avec une croissance de 1,8 % contre 2,4 % si le Brexit n'avait pas eu lieu. En trois ans, selon la BCC, le Royaume-Uni aura perdu 51 milliards d'euros.
Le gouvernement, qui doit gérer la sortie de l'Union Européenne, doit également faire en sorte de garder les entreprises sur son territoire. Pour ce faire, le nouveau Chancelier de l'Echiquier, Philip Hammond, aurait l'intention de reprendre l'idée de son prédécesseur George Osbourne et de baisser l'impôt sur les sociétés.
Le Royaume-Uni applique actuellement un impôt de 20 % sur les entreprises et il pourrait baisser à 19 % dès 2017 puis atteindre 17 % en 2020. Des informations qui doivent encore être confirmées par le gouvernement : il s'agirait là du plan annoncé par Philip Hammond lors de la réunion ECOFIN du samedi 10 septembre 2016 et qui a été révélé à la presse par des personnes présentes. Le Trésor britannique, de son côté, n'a rien annoncé d'officiel ni a confirmé ces rumeurs.
C'est en 2017 que le coup sera le plus dur pour l'économie britannique : de 2,3 % de croissance avant le Brexit, la BCC ne s'attend plus qu'à 1 % de croissance sur l'année. Theresa May, Première ministre britannique, l'avait dit : même si la panique ne s'est pas emparée des marchés, le Brexit allait être un coup dur à encaisser pour l'économie. En 2018 la situation s'améliore mais reste toujours en-dessous des précédentes estimations avec une croissance de 1,8 % contre 2,4 % si le Brexit n'avait pas eu lieu. En trois ans, selon la BCC, le Royaume-Uni aura perdu 51 milliards d'euros.
Le gouvernement, qui doit gérer la sortie de l'Union Européenne, doit également faire en sorte de garder les entreprises sur son territoire. Pour ce faire, le nouveau Chancelier de l'Echiquier, Philip Hammond, aurait l'intention de reprendre l'idée de son prédécesseur George Osbourne et de baisser l'impôt sur les sociétés.
Le Royaume-Uni applique actuellement un impôt de 20 % sur les entreprises et il pourrait baisser à 19 % dès 2017 puis atteindre 17 % en 2020. Des informations qui doivent encore être confirmées par le gouvernement : il s'agirait là du plan annoncé par Philip Hammond lors de la réunion ECOFIN du samedi 10 septembre 2016 et qui a été révélé à la presse par des personnes présentes. Le Trésor britannique, de son côté, n'a rien annoncé d'officiel ni a confirmé ces rumeurs.