Dans ce secteur, il existe deux mastodontes bien connus, l'américain Boeing et l'européen Airbus, qui rencontrent des difficultés pour hausser le volume de production. Plusieurs modèles "à la mode" comme le 737 et l'A320neo ont du mal en effet à être fournis à leurs clients, certains préférant tout simplement annuler leurs commandes.
Des soucis techniques et des problèmes de livraison de pièces sont à l'origine de ces retards, mais il s'agit plus globalement d'une crise de croissance pour le secteur. Boeing et Airbus représentent à eux deux l'essentiel du carnet de commandes de l'industrie ; celui-ci compte plus de 13 400 avions, ce qui équivaut à 10 ans de travail au rythme actuel de production.
Voilà qui explique pourquoi les deux constructeurs connaissent des volumes de prise de commandes relativement limités depuis le début de l'année : 276 pour Boeing, 183 pour Airbus. Il est donc fort improbable de voir le record de 2014 du salon de Farnborough battu : à l'époque, les deux constructeurs y avaient généré 201 milliards de dollars de commandes...
Des soucis techniques et des problèmes de livraison de pièces sont à l'origine de ces retards, mais il s'agit plus globalement d'une crise de croissance pour le secteur. Boeing et Airbus représentent à eux deux l'essentiel du carnet de commandes de l'industrie ; celui-ci compte plus de 13 400 avions, ce qui équivaut à 10 ans de travail au rythme actuel de production.
Voilà qui explique pourquoi les deux constructeurs connaissent des volumes de prise de commandes relativement limités depuis le début de l'année : 276 pour Boeing, 183 pour Airbus. Il est donc fort improbable de voir le record de 2014 du salon de Farnborough battu : à l'époque, les deux constructeurs y avaient généré 201 milliards de dollars de commandes...