Selon Le Monde, ce rapprochement pourrait même être officialisé ce mardi 26 septembre. Un accord qui n'a bien sûr pas été confirmé par Alstom ; mais le groupe industriel français a publié ce vendredi un communiqué de presse dans lequel on peut lire que des discussions avec Siemens sont en cours. Elles portent sur un « possible rapprochement entre Alstom et la division Mobility de Siemens », à savoir l'activité ferroviaire du géant allemand.
En 2015, des discussions avaient déjà eu lieu entre les deux entreprises… mais elles n'ont pas abouti. À la place, Alstom a préféré vendre à l'américain General Electric son pôle énergie, pour la somme de 9,7 milliards d'euros. Mais cette fois, c'est plus sérieux avec Siemens. Les pouvoirs publics français verraient d'un bon œil un tel rapprochement. « Une consolidation serait une très bonne chose », a ainsi indiqué Elisabeth Borne, la ministre des Transports, au micro de France Info. Le gouvernement voudrait mettre sur pied un « Airbus du ferroviaire » et ce nouvel axe franco-allemand serait tout à fait déterminant.
Les négociations seraient menées au plus haut sommet, entre la chancellerie et l'Élysée selon un connaisseur du dossier. La probable victoire d'Angela Merkel aux élections fédérales allemandes ce dimanche devrait permettre à Alstom d'accélérer un rapprochement dans lequel Siemens aurait une large part dans le capital du groupe français, ce dernier récupérant l'activité ferroviaire de l'industriel allemand.
En 2015, des discussions avaient déjà eu lieu entre les deux entreprises… mais elles n'ont pas abouti. À la place, Alstom a préféré vendre à l'américain General Electric son pôle énergie, pour la somme de 9,7 milliards d'euros. Mais cette fois, c'est plus sérieux avec Siemens. Les pouvoirs publics français verraient d'un bon œil un tel rapprochement. « Une consolidation serait une très bonne chose », a ainsi indiqué Elisabeth Borne, la ministre des Transports, au micro de France Info. Le gouvernement voudrait mettre sur pied un « Airbus du ferroviaire » et ce nouvel axe franco-allemand serait tout à fait déterminant.
Les négociations seraient menées au plus haut sommet, entre la chancellerie et l'Élysée selon un connaisseur du dossier. La probable victoire d'Angela Merkel aux élections fédérales allemandes ce dimanche devrait permettre à Alstom d'accélérer un rapprochement dans lequel Siemens aurait une large part dans le capital du groupe français, ce dernier récupérant l'activité ferroviaire de l'industriel allemand.