La somme que l’État va prêter au groupe sera de 70 millions d’euros, a annoncé le ministère de l’Économie. Cet argent sera versé sur une fiducie qui pourra, le cas échéant, être prêté à la Financière Turenne Lafayette selon ses besoins. L’objectif du gouvernement est de « rassurer l’entreprise, ses créanciers », et surtout les employés du groupe dont l’avenir est sur la sellette.
En plus de ces 70 millions, l’État s’engage au versement immédiat d’une dizaine de millions d’euros d’ici la fin de l’année. Cette somme servira à « assurer que les prochaines semaines se dérouleront dans de bonnes conditions, il faut que l'entreprise continue de fonctionner ». Le groupe aura cependant besoin de plus pour éviter une liquidation judiciaire, même si celle-ci reste encore à déterminer.
La possibilité d’obtenir jusqu’à 70 millions supplémentaires montre la volonté de l’État d’accompagner le groupe dans ses difficultés, apparus après un audit financier. Ce dernier a révélé des pratiques de fausses facturations afin de gonfler le chiffre d’affaires de la société ; des comptes truqués depuis de nombreuses années, se désole-t-on à la nouvelle direction.
En plus de ces 70 millions, l’État s’engage au versement immédiat d’une dizaine de millions d’euros d’ici la fin de l’année. Cette somme servira à « assurer que les prochaines semaines se dérouleront dans de bonnes conditions, il faut que l'entreprise continue de fonctionner ». Le groupe aura cependant besoin de plus pour éviter une liquidation judiciaire, même si celle-ci reste encore à déterminer.
La possibilité d’obtenir jusqu’à 70 millions supplémentaires montre la volonté de l’État d’accompagner le groupe dans ses difficultés, apparus après un audit financier. Ce dernier a révélé des pratiques de fausses facturations afin de gonfler le chiffre d’affaires de la société ; des comptes truqués depuis de nombreuses années, se désole-t-on à la nouvelle direction.