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Mark Zuckerberg pourrait bien avoir flairé le bon filon, si la croissance de Facebook arrivait à manquer : la réalité virtuelle serait un marché énorme en plein essor selon les analystes. Il faut encore attendre quelques années avant que le marché ne soit mûr, les premiers casques ne sortiront qu'en 2016 et ils ne seront que la première version d'une toute nouvelle technologie.
Selon le cabinet TrendForce, néanmoins, la croissance sera au rendez-vous avant la prochaine décennie. D'ici 2020 le marché de la réalité virtuelle, naissant aujourd'hui, pourrait peser jusqu'à 70 milliards de dollars dans le monde. Une partie, bien évidemment, serait liée au matériel mais ce serait surtout la partie logicielle qui est intéressante.
Entre jeux-vidéos, applications, logiciels et éditeurs, la croissance sera de mise et ce dans tous les secteurs. La réalité virtuelle s'annonce comme adaptée à de nombreuses tâches, bien au-delà du simple loisir.
Selon TrendForce, par exemple, l'industrie lourde pourrait rapidement s'intéresser à la réalité virtuelle pour commander les chaînes d'assemblage et faire réaliser à des robots des tâches complexes et non automatisables. Le robot serait alors relié à un casque de réalité virtuelle commandé par un humain qui pourrait le diriger sans prendre les risques liés à la tâche en elle-même et réaliser, ainsi, des tâches jusqu'alors impensables ou très complexes.
Selon le cabinet TrendForce, néanmoins, la croissance sera au rendez-vous avant la prochaine décennie. D'ici 2020 le marché de la réalité virtuelle, naissant aujourd'hui, pourrait peser jusqu'à 70 milliards de dollars dans le monde. Une partie, bien évidemment, serait liée au matériel mais ce serait surtout la partie logicielle qui est intéressante.
Entre jeux-vidéos, applications, logiciels et éditeurs, la croissance sera de mise et ce dans tous les secteurs. La réalité virtuelle s'annonce comme adaptée à de nombreuses tâches, bien au-delà du simple loisir.
Selon TrendForce, par exemple, l'industrie lourde pourrait rapidement s'intéresser à la réalité virtuelle pour commander les chaînes d'assemblage et faire réaliser à des robots des tâches complexes et non automatisables. Le robot serait alors relié à un casque de réalité virtuelle commandé par un humain qui pourrait le diriger sans prendre les risques liés à la tâche en elle-même et réaliser, ainsi, des tâches jusqu'alors impensables ou très complexes.